1951 : sortie en France de Melody Cocktail
Sorti aux Etats-Unis en 1948, il s’agit là du 13e long-métrage d’animation des studios Disney. Melody Cocktail se structure autour de sept courts métrages, dans la lignée de Fantasia ou de La Boîte à musique. Il s’en distingue en incluant des prises de vues réelles. Chacune des séquences, dont le titre s’anime grâce à un pinceau sur une partition de musique, est chantée par un artiste des années 1940-50.
La première séquence raconte une histoire double. Dans les années 1900, un couple d’humains et un couple de lapins vivent parallèlement une romance sur un lac gelé. Mais la glace se brise. C’est un souvenir de décembre …
Voilà ensuite que Freddy Martin et son orchestre interprète le Vol du bourdon de Nikolaï Rimski-Korsakov. Une mouche en vit un véritable cauchemar…
Dennis Day raconte la vie du célèbre pionnier John Chapman. Johnny Pépin-de-Pomme parcourt l’Ouest américains en plantant des pommiers.
Les Andrews Sisters chantent l’histoire d’un petit bateau anthropomorphe. Petit Toot veut ressembler à son père, mais cela lui cause bien des ennuis.
À la gloire d’un arbre … et voilà un poème sur ces rois de la forêt …
En chantant, les Dinning Sisters racontent comment Donald et José Carioca apprennent la samba.
Enfin, après avoir chanté Blue Shadows, Roy Rogers et les Fils des Pionniers racontent l’histoire du légendaire Pecos Bill…
Le 28 février c’est aussi …
1961 : sortie aux Etats-Unis du film Monte là-d’ssus
Professeur de sciences au lycée de Metfield, Ned Brainard ne vit que pour la recherche. Son obsession d’inventer une nouvelle matière est telle qu’il en oublie son mariage, pour la troisième fois. Quand son laboratoire explose, il découvre le plaxmol, une matière fantastique qui est douée d’énergie. Voilà la solution à tous ses problèmes. Avec le Plaxmol, il va pouvoir faire progresser l’équipe de basketball de Metfield, reconquérir sa fiancée, et surtout déjouer les plans de Alonzo P. Hawk, un industriel vénal. Mais les choses ne seront peut-être pas si faciles.